L’Egypte est toujours soucieuse de la liberté de la presse et n’a jamais exclu un correspondant étranger à cause des fausses informations, a dit le président de l’organisme général de l’information (OGI), Diaa Rachwan, lors d’un séminaire organisé par le centre “Future for Advanced Research & Studies” en marge du Congrès mondial des médias, dont la deuxième édition a démarré aujourd’hui à Abou Dhabi, cite la MENA.
L’Egypte n’a jamais exclu un correspondant étranger en raison de fausses informations et nous n’avons pas exercé notre droit de le faire. Nous nous soucions de la liberté de la presse pour son grand rôle dans la publication et la transmission des informations, un rôle qui en fait le miroir de la nation, a-t-il noté.
Nous travaillons toujours à traiter cette question en communiquant directement avec les sources étrangères et en les invitant à constater elles-mêmes les faits sans les empêcher d’entrer dans le pays, a-t-il ajouté, évoquant le rôle de l’organisme général de l’information, principale source des informations, qui publie en neuf langues.