Elle aime incarner tout ce qui est vrai. Puisque ses films reflètent la réalité donc c’est du réel. Elle a tracé avec brillance sa passion du cinéma et son parcours du cinéma égyptien se développe jour après jour. C’est Sandra Nachaat. Cette belle réalisatrice est, à l’époque moderne, à la pointe du combat pour que les femmes entrent dans le domaine de la réalisation et de la mise en scène. Sa présence est unique et rare dans un milieu accablé par les apparences et le matérialisme. Son œuvre est l’une des plus fascinantes du cinéma égyptien et l’une des plus cohérentes.
Sur le plan artistique
Elle est pionnière dans le domaine de la réalisation. Ce domaine qui était totalement dominé par les hommes pour des années et des années. Elle est la maestro qui a bien orchestré la naissance des deux célèbres artistes Ahmed Ezz et Karim Abdel Aziz. Et a réussi à réaliser ces films avec excellence :
« Mabrouk et Bolbol » – « Pourquoi m’as-tu fait t’aimer » – « Voleurs en maternelle » – « Voleurs en Thaïlande » – « Immatriculée à Alexandrie » – « Prisonnier-transit » – « L’intérêt » – « L’otage ». .
Sur le plan humain
C’est la belle à la renommée mondiale. Elle est celle qu’on appelle la « pro ». Mais elle a tardé à trouver le partenaire de sa vie comme rêvait chaque fille. Et quand Dieu a voulu qu’elle se marie, Dieu l’a destinée à une des personnes les plus riches d’Egypte et du monde arabe, à savoir l’ingénieur #Majed_Sami, propriétaire de Wadi Degla Club et du Lierse Belgian Club, et propriétaire de nombreux investissements. Contrairement aux filles de la communauté artistique lorsqu’elles épousent des gens riches, au lieu de demander un palais, une voiture ou un compte bancaire, sa seule condition était que son fiancé construise un hôpital dans une zone aléatoire, une école et un atelier pour filles.