

Avec Musetti qui sera opposé lui à l’Espagnol Carlos Alcaraz (3e), Sinner, 23 ans, a déjà écrit un nouvelle page de l’histoire du tennis italien: c’est la première fois depuis le début de l’ère Open (1968) que deux Italiens sont en demi-finales à Rome, la première fois aussi qu’il y a deux Italiens demi-finalistes d’un même Masters 1000 depuis la création de cette catégorie en 1990.
Le tennis italien est au septième ciel à Rome: son héros Jannik Sinner, irrésistible, a donné une leçon à Casper Ruud en quarts de finale et Jasmine Paolini s’est hissée en finale, un première pour une Italienne depuis 2014, selon l’AFP.
Sur le toit du monde grâce aux succès de ses équipes nationales l’automne dernier dans la Billie Jean King Cup (ex-Fed Cup) et en Coupe Davis, l’Italie attend, depuis 1985 pour les femmes et depuis 1976 pour les hommes, qu’un de ses représentants remporte enfin “ses” Internationaux.
Elle touche peut-être au but avec trois atouts de choix pour mettre fin à cette disette, Sinner et Lorenzo Musetti (9e mondial) dans le dernier carré, et Paolini en finale. L’Italie peut même rêver à un double triomphe la même année, inédit, “a casa”.
Confronté à son premier joueur du Top 10 mondial depuis son retour à la compétition, Sinner n’a pas fait de détails contre Ruud. Il a écoeuré et essoré 6-0, 6-1 le N.7 mondial, pourtant récent vainqueur du Masters 1000 de Madrid et double finaliste à Roland-Garros (2022, 2023).
Avec Musetti qui sera opposé lui à l’Espagnol Carlos Alcaraz (3e), Sinner, 23 ans, a déjà écrit un nouvelle page de l’histoire du tennis italien: c’est la première fois depuis le début de l’ère Open (1968) que deux Italiens sont en demi-finales à Rome, la première fois aussi qu’il y a deux Italiens demi-finalistes d’un même Masters 1000 depuis la création de cette catégorie en 1990.