Cet incident, qui s’était déjà produit le 25 août, est survenu « après de nouveaux bombardements dans la zone », selon les informations fournies par les autorités ukrainiennes à l’instance onusienne. Le site continue cependant à fonctionner « grâce à une ligne de secours », précise l’AIEA. Selon l’AFP, la situation de la centrale de Zaporijia (sud), inquiète de nombreux dirigeants internationaux.