Par Adel Al-Sanhoury
Al-Youm Al-Sabie
Sans doute, chaque citoyen égyptien et le Président Abdel Fattah Al-Sissi étaient heureux, et se sentaient fiers en entendant les louanges internationales faites par le grand public et les éminents hôtes du Forum Mondial de la Jeunesse (FMJ) à Charm El-Cheikh. Tout le monde a également salué et largement admiré le plus grand projet de développement intégral dans l’Histoire humaine pour améliorer la qualité de vie de près de 60 millions de citoyens égyptiens, dans plus de 5 mille villages, afin de les sauver des maladies, du paupérisme et de la vie inhumaine et ainsi de leur assurer une vie décente qui les pousse à devenir des personnes efficaces et capables de produire. Le projet “Une vie décente” lancé par le Président Abdel Fattah Al-Sissi pour un coût de plus de 700 milliards de LE sur trois phases, afin d’effectuer une révolution de développement global dans tous les villages d’Egypte et de changer la vie de plus de la moitié du peuple égyptien (…) L’Egypte a le droit d’inscrire ce projet dans les institutions des Nations Unies, et dans le Guinness des records, comme un des projets records du 21e siècle, comme fut enregistré le Haut-Barrage comme le plus grand projet et le miracle d’ingénierie du 20e siècle. Le projet a fait l’objet d’intérêt et d’admiration de la part de tous les participants au FMJ. J’aurais souhaité voir les responsables du Forum ou du projet “Une vie décente” organiser une visite pour les hauts responsables internationaux et arabes dans certains des villages où le projet a été finalisé, afin qu’ils puissent voir sur le terrain, et non à travers les photos ou les vidéos, ce qui a été réalisé par “Une vie décente”, et comment la vie des habitants de ces villages a-t-elle changé. Le projet “Une vie décente” est un exploit juvénile, comme l’a souligné Aya Omar présidente du Conseil des secrétaires généraux de ladite Institution. Elle regroupe 21 mille jeunes. C’est le plus grand projet de développement dans le monde et dans l’Histoire moderne de l’Egypte, comme a-t-elle encore souligné, qui a changé la vie de 58 millions de citoyens égyptiens. Au début, le projet visait à mettre un terme à la pauvreté multidimensionnelle et à combler les lacunes de développement, pour revitaliser les valeurs participatives et communautaires, mais il s’est transformé en un projet national avec multiples axes couvrant l’infrastructure, l’autonomisation économique et le logement décent pour les simples citoyens égyptiens (…)