La situation continue dans la bande de Gaza a, sans doute, des répercussions sur la stabilité au Liban, y compris la question concernant le vide présidentiel qui ne peut pas être réglée avant un cessez-le-feu à Gaza, a dit le ministre des Affaires étrangères, Sameh Choucri, lors de la réception de l’envoyé spécial français pour le Liban, Jean-Yves Le Drian.
Au début de la rencontre, M. Choucri a loué les récentes actions des ambassadeurs de l’Égypte, de la France, de l’Arabie Saoudite, du Qatar et des Etats-Unis, qui ont rencontré le président du Parlement libanais Nabih Berri, et qui affirmé que leur objectif est d’encourager les parties libanaises à dialoguer et à assumer leur responsabilités, a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ahmed Abou Zeid.
Le ministre a également souligné l’importance du rôle joué par ce groupe dans la recherche d’une solution à la crise liée au vide présidentiel au Liban, qui représente un cadre international visant à aider les Libanais à parvenir à une solution à leurs crises politiques selon leur propre volonté.