Le plus grand défi que l’Egypte devait affronter pour la COP27 était de finir les préparatifs de l’évènement en seulement 11 mois et non deux ans, comme en ont bénéficié les deux pays hôtes des COP26 et COP28, qui la précède et la succède, a déclaré mercredi la ministre de l’Environnement, Yasmine Fouad, également coordonnatrice ministérielle et émissaire de ce sommet climatique.
La direction politique a accordé un vif intérêt à l’action climatique et a exigé que ce sommet traduise une réalité tangible, d’où la décision du Président de la République de transformer Charm El-Cheikh en ville verte et durable, a expliqué la ministre, lors d’un colloque organisé par l’Association des hommes d’affaires égypto-canadienne sous le thème “les défis et questions écologiques post-COP27”, selon la MENA.
L’Etat a donc mis au point un plan d’action intégré pour préparer ce sommet, a dit Fouad, parlant en détails des préparatifs et des problèmes rencontrés lors de l’organisation du Sommet climatique, et ce en présence de ministres, d’ambassadeurs et de représentants d’institutions financières et de la société civile, d’investisseurs et d’hommes d’affaires.