Une jeunesse ce sont surtout des rêves, des espoirs, des aspirations et des ambitions. C’est en ces mots que l’on peut décrire la jeunesse égyptienne.
C’est d’ailleurs que le président Abdel-Fattah Al-Sissi a toujours perçu les jeunes cherchant à leur frayer le chemin de leurs rêves. La jeunesse d’aujourd’hui est bel et bien nantie car l’Etat s’aligne sur elle. Toutes les possibilités de réussite sont ainsi présentées aux futurs leaders et bâtisseurs de la Nation.
Former les jeunes cadres est la meilleure façon pour garantir un meilleur avenir. La formation est l’outil et l’instrument le plus important pour façonner des cadres aptes à assumer les responsabilités de la patrie.
Cela est tout à faire ordinaire si nous reprenons par exemple le modèle français, les responsables sont formés à l’ENA (Ecole Nationale d’Administration), avant de prendre en charge une position. La volonté de l’Etat égyptienne est claire : former une nouvelle génération de cadres et de responsables qui soit capable de servir la patrie d’après les meilleurs critères.
C’est pourquoi, l’Académie nationale de formation a eu recours à des experts de l’ENA pour signer des protocoles de coopération en présence des présidents de deux pays. L’Académie inclue une bibliothèque qui vise à présenter aux membres de l’Académie, aux formés, et aux experts, les informations dont ils ont besoin. Grâce à des efforts incessants pour former les dirigeants égyptiens, les anciens étudiants de l’Académie nationale de formation ont laissé leur empreinte et façonné l’avenir des organisations du secteur public égyptien.
Ainsi, la nouvelle République accorde un vif intérêt à la jeunesse en formant des cadres prêt à bâtir l’avenir du pays et à réaliser leurs aspirations. Ce n’est pas l’unique initiative lancée par la présidentielle qui a permis d’autonomiser les jeunes en leur donnant des ailes, tout en gardant leur racines.