« Documenta » est le nom donnée à l’exposition d’art moderne et contemporain ouverte au monde, qui se tient une fois tous les cinq ans dans la ville allemande de Kassel. Une exposition dans laquelle on trouve des spectacles allant du dessin, de la photographie, des spectacles de performance, de l’installation dans l’espace à l’art vidéo. Cet événement s’appelle le «Musée ouvert des cent jours», présenté pendant cette période au public et aux touristes, car le nombre de visiteurs du festival «Documenta» a atteint plus d’un million de visiteurs lors des éditions précédentes, et l’idée de cette exposition d’art contemporain est née depuis 1955, par l’artiste et professeur d’art Arnold Bode, en réintroduisant l’art moderne d’une manière décente qui atteint les peuples après avoir émergé du poids de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, Documenta démarre sa 15e édition le 18 de ce mois, avec la participation de l’Égypte, en coopération avec Violet International Gallery en Allemagne, dirigée par l’artiste Arya Atti, et la Fondation égyptienne Shiranda pour soutenir les arts, la culture et le développement communautaire dirigé par Randa Fouad et Chérine Badr, pour présenter des modèles et des arts égyptiens qui confirment que l’artiste dispose encore d’outils d’innovation à travers l’histoire et pour que les arts contribuent à clarifier la vision et l’éclat des empreintes distinguées par les beaux-arts sur le côté de la scène égyptienne et la sélection d’œuvres qui expriment l’identité de l’art égyptien contemporain. Parmi les artistes égyptiens : Ayman Samri, Ashraf Zaki, Hani Al-Qushayri, Muhammad Al-Tarawi, Salah Bisar, Ahmed Barakat, Ashraf Mahdi, Randa Ismail, Moushira Al-Azhari, Shahira Shoukry, Amal Pacha, Dina Tarif, Randa Fouad, Wafaa Al-Nashashibi, Suzan Saad, Nadia Zaki, Tariq AlSheikh, Hanafi Mahmoud, Jaida Zakaria, Hoda Al-Qouni, Monel Janho.
De nombreuses activités culturelles, de divertissement, musicales et folkloriques des pays participants pendant les 100 jours de cette manifestation, seront jouées afin d’atteindre la vision cible de la fondation qui est de soutenir les forces douces et de créer des espaces d’échanges culturels et créatifs, et contribuant à la livraison des dimensions esthétiques et humaines qui expriment l’ampleur du développement de l’art égyptien. Dans les générations actuelles et futures, cette participation égyptienne favorise également la construction de liens civilisés pour le développement des sociétés et l’échange d’idées à travers l’art, tel qu’il est comme étant l’une des langues les plus importantes du monde moderne.