Nous sommes face à une scène historique et à un moment très important avec le lancement de la stratégie nationale des droits de l’Homme, a fait savoir l’écrivain et homme de médias Ibrahim Eissa, lors d’une table ronde sous le thème : “Les droits de l’Homme… entre présent et avenir”, en présence du Président Abdel Fattah Al-Sissi.
Eissa a expliqué qu’il est nécessaire de travailler selon cette stratégie, parallèlement à ce qui se passe et se réalise dans le domaine du développement, de la construction et des projets mis en place et dont l’Etat est témoin.
La Nouvelle République réussit à réaliser les promesses faites par la 1ère République et qui n’ont pas été remplies, a-t-il tempêté. L’écrivain journaliste a notamment affirmé que la Nouvelle République fait prévaloir les valeurs de droits de l’Homme dans toutes les institutions et les entités de l’Etat.
Ibrahim Eissa a expliqué que le gouvernement n’est pas la source de la législation, mais qu’il présente plutôt les projets de lois, et c’est à l’autorité législative, représentée dans le Parlement, de promulguer ces lois après les avoir approuvées. Il a ajouté : “Est-ce ces lois et ces législations relatives aux droits de l’Homme ont besoin de forces législatives pour les adopter et les transformer en lois… Nous avons deux expériences dans la loi des organisations nongouvernementales élaborée par un imposant consensus avec la communauté civile.
Le Parlement a présenté une loi différente et la situation a été sauvée par une intervention importante, généreuse et historique par le Président Al-Sissi.
La loi a été présentée sous une nouvelle forme. Il a été de même pour la loi sur la Maison de l’Iftaa, et qui appelle à l’indépendance de la Maison de fatwa. Cette loi a duré longtemps avant sa promulgation, avant l’intervention du Président Al-Sissi”, a-t-il affirmé.